photo D'après une histoire vraie

D'après une histoire vraie

Dijon 21000

Le 01/04/2025

Mené par une musique pulsatile et percutante, D’après une histoire vraie traduit les états physiques et mentaux d’un groupe de danseurs masculins: un spectacle entre solidarité et vulnérabilité, force et délicatesse. D’après une histoire vraie émane d’un souvenir de Christian Rizzo : celui d’une ronde improvisée constituée d’hommes que le chorégraphe a aperçue à Istanbul. En revisitant ce souvenir, en lui ajoutant les rythmes et l’atmosphère sonore produits par deux batteries entêtantes, l’artiste réinvente cette forme- mémoire et travaille une écriture chorégraphique hybride. Émargeant à des catégories aussi diverses que les traditions folkloriques méditerranéennes, la musique rock, la danse contemporaine, le rituel tribal, ou les musiques de spiritualité, D’après une histoire vraie vibre d’une masculinité propre, qui trouve à s’exprimer bien loin des idées reçues.

photo D'après une histoire vraie

D'après une histoire vraie

Musique, Danse - Bal - Cabaret

Dijon 21000

Le 01/04/2025

Mené par une musique pulsatile et percutante, D’après une histoire vraie traduit les états physiques et mentaux d’un groupe de danseurs masculins: un spectacle entre solidarité et vulnérabilité, force et délicatesse. D’après une histoire vraie émane d’un souvenir de Christian Rizzo : celui d’une ronde improvisée constituée d’hommes que le chorégraphe a aperçue à Istanbul. En revisitant ce souvenir, en lui ajoutant les rythmes et l’atmosphère sonore produits par deux batteries entêtantes, l’artiste réinvente cette forme- mémoire et travaille une écriture chorégraphique hybride. Émargeant à des catégories aussi diverses que les traditions folkloriques méditerranéennes, la musique rock, la danse contemporaine, le rituel tribal, ou les musiques de spiritualité, D’après une histoire vraie vibre d’une masculinité propre, qui trouve à s’exprimer bien loin des idées reçues.

photo Il nous faut arracher la joie aux jours qui filent

Il nous faut arracher la joie aux jours qui filent

Beaune 21200

Du /00/1e16 au //099

Il nous faut arracher la joie aux jours qui filent raconte la violence du monde à travers une épreuve familiale. C’est l’histoire du bouleversement que représente l’accompagnement d’une mère atteinte de la maladie d’Alzheimer pour ses trois filles, un bouleversement des repères et des convictions. La perte de sens qu’induit cette maladie vient faire écho à celle que ces trois sœurs rencontrent dans leur métier d’infirmière, de professeure et de comédienne. Elles sont les victimes du sacrifice méthodique, violent et irrésistible des services publics. Comment survivre à l’inéluctable ? Et quelle stratégie envisager pour ne pas sombrer dans un pessimisme mortifère. Une tragi-comédie familiale de la Compagnie du Détour, convoquant le rire au milieu du désastre. Comme disait le philosophe Alain, « le pessimisme est un état, l’optimisme est un combat » ! texte & mise en scène Agnès Larroque, mise en scène Laure Seguette, avec Elisabeth Barbazin, Adeline Benamara, Irène Chauve, Romain Pichard, Emmanuelle Vein, création lumières Julien Barbazin, scénographie Caroline Oriot, collaboration chorégraphique Thierry Thieu Niang, coiffures, perruques Pascal Jehan, régie lumières Matthieu[...]